{Service presse} La prisonnière du temps, MORTON Kate

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Il y a des fois dans la vie où une lecture ne passe pas. Je sais que je ne reviens pas avec assez de bonnes lectures mais je pense que 2019 n’est pas une bonne année livresque pour moi. Donc, je reviens aujourd’hui avec une critique de La prisonnière du temps de Kate Morton, publié par Presses de La Cité et je remercie NetGalley ainsi que la maison d’édition pour l’envoi. Premier Kate Morton et sans doute le dernier car malheureusement, je n’ai pas été séduite par le style de l’auteure. Explications à venir.

L’auteure

Kate Morton est une écrivaine australienne.Titulaire d’une licence en arts dramatiques de Trinity College London, elle a suivi un cursus sur Shakespeare à l’université d’été de l’Académie royale d’art dramatique à Londres. Elle a ensuite reçu un master de littérature anglaise de l’Université du Queensland (1999). Elle a obtenu une bourse de doctorat sur le gothique dans la littérature contemporaine.A 29 ans, Kate Morton écrit son premier roman, « Les brumes de Riverton » (« The House at Riverton », 2006), qui connaît un succès mondial. Les romans qui ont suivi: « Le jardin des secrets » (« The Forgotten Garden », 2008), « Les heures lointaines » (« The Distant Hours », 2010), « La scène des souvenirs » (« The Secret Keeper, 2012) et « L’Enfant du lac » (« The Lake House », 2015) lui ont permis de confirmer son talent et sa place sur la scène littéraire internationale. Son sixième roman, « La Prisonnière du temps » (« The Clockmaker’s Daughter », 2018), est un roman à suspense qu’elle situe à Londres du XIXe au XXIe. Elle a aujourd’hui plus de 12 millions d’exemplaires vendus à son actif et est publiée dans 40 pays. Kate Morton vit à Londres avec son mari, le compositeur Davin Patterson et leurs trois enfants.

Le résumé

La Prisonnière du temps par Morton

« À l’été 1862, un groupe de jeunes peintres proche des Préraphaélites, menés par le talentueux Edward Radcliffe, s’installe au Birchwood Manor, sur les rives de la Tamise. Là, inspiré par sa muse, la sulfureuse Lily avec qui il vit une passion ravageuse, Edward peint des toiles qui marqueront l’histoire de l’art. Mais à la fin de sa retraite, une femme a été tuée, une autre a disparu, un inestimable diamant a été dérobé, et la vie d’Edward Radcliffe est brisée.
Plus d’un siècle plus tard, Elodie Winslow, jeune archiviste à Londres fiancée à un golden-boy qui l’ennuie, découvre dans une vieille sacoche deux objets sans lien apparent : le portrait sépia d’une femme à la beauté saisissante en tenue victorienne, et un cahier de croquis contenant le dessin d’une demeure au bord de l’eau. Pourquoi le Birchwood Manor semble-t-il si familier à Elodie ? L’inconnue de la photo pourra-t-elle enfin livrer tous ses secrets ? Et si, en l’entraînant sur les traces d’une passion d’un autre siècle, son enquête l’aider à percer le mystère de ses propres origines et à enfin mener la vie qu’elle désire ? »

 Mon avis

Le résumé était pourtant alléchant mais en fait, ce qui n’a pas pris ce fut la plume de l’auteure. En effet, nous suivons au départ les aventures d’Elodie pendant la première partie du roman à laquelle nous pouvons assez rapidement nous identifier pour au final basculer vers d’autres personnes durant la seconde partie. C’est là que j’ai décroché. J’aime pourtant les romans historiques où tout se mélange mais ce livre m’a fait exactement la même chose que durant ma lecture Du domaine des murmures. Je me suis profondément ennuyée. L’intrigue est plate, sans aucun intérêt. Alors certes, je ne voulais pas mettre de notes car avant tout, je n’ai pas détesté ce roman. Mais disons que je me suis intéressée à ce dernier autant qu’une petite cuillère mais disons qu’il s’agit d’un service presse donc j’essaie de demeurer correct. Ce qu’il faut savoir quand on se plonge dans ce livre, ce sont la longueur des chapitres ainsi que la plume évasive de Kate Morton. Elle essaie de nous plonger dans son univers sans parvenir à trouver l’accroche nécessaire pour que le lecteur soit captivé. Alors je sais que la majorité des critiques sont positives concernant ce roman mais je l’ai trouvé dénuée d’intérêt et j’ai -sans honte- sauter quelques chapitres pour voir si en arrivant à la fin, on peinait à comprendre le déroulé de l’intrigue. Et pas du tout. Certes, vers la fin des fils relient les personnages entrent eux mais il est inutile de débourser plus de 20€ ainsi que 600 pages pour arriver à cette conclusion. Je suis carrément déçue car il s’agissait du service presse dont j’en attendais le plus et j’en sors déçue. Mais sans doute ne dois-je rien attendre des livres pour parvenir à réellement accrocher ? Je lui ai mis la note de 10/20 car malgré tout, je voulais savoir la fin. Dommage.

Dites-moi que vous l’avez lu ?

Est-ce que la plume de Kate Morton vaut le coup que je retente ?

Je vous embrasse !

Que la force soit avec vous !

(PS: la musique n’a rien avoir, c’est juste mon son du moment) 

Tiffanie

3 réflexions sur “{Service presse} La prisonnière du temps, MORTON Kate

  1. j’ai lu tous les Kate Morton et habituellement j’adore vraiment ce qu’elle écrit. Pour le coup, par contre, celui-là, je suis comme toi, je n’ai pas du tout accroché… je l’ai trouvé vraiment différent de ce qu’elle peut écrire d’habitude (trop d’époques, trop de personnages, pas assez clair), je te conseille vraiment d’en retenter d’autres car elle vaut le coup! (peut-être avec Le jardin des secrets qui a l’air d’être le préféré de beaucoup de gens ^^ et ils existent en poche, donc pas besoin de débourser 20€!)

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