(Service presse) La nuit, la mer n’est qu’un bruit, MILLER Andrew (abandon)

Comme vous le savez, j’ai reçu énormément de services presse de NetGalley. J’ai eu la bonne idée de postuler à tous les romans qui me plaisaient lorsque je me suis inscrite en pensant que je n’allais en attirer que quelques-uns. Seulement, je me suis retrouvée avec plus de 15 services presses sur les bras. Et je me suis faite la promesse de tous les livres. Depuis que j’écris sur ce blog de manière assidû, je n’ai abandonné qu’un seul ouvrage en 2016. Et celui-ci est le second. Je vais donc en faire une critique assez sommaire pour dire pourquoi je l’ai abandonné même si je tiens tout de même à remercier NetGalley et la maison d’éditions pour leur envoi, seulement, ça ne l’a juste pas fait. Dommage.

L’auteur

Andrew Miller est un romancier du début du XXIe siècle, présenté par la critique « comme l’un des plus talentueux écrivains britanniques de sa génération ».

Il est titulaire d’un MA en création littéraire à l’Université d’East Anglia (1991) et a obtenu son doctorat en Creative and Critical Writing à l’Université de Lancaster en 1995.

Sa renommée internationale s’est établie sur le succès de son premier roman « L’homme sans douleur » (Ingenious Pain), publié en 1997 en Grande-Bretagne et par la suite en plus de trente langues. Le roman a été couronné par le James Tait Black Memorial Prize ainsi que le prix International IMPAC 1999.

En 1998, Miller a publié son deuxième roman « Casanova amoureux » (Casanova in Love) qui est également un roman historique. En 2001, son troisième roman « Oxygen » a été finaliste pour le Booker Prize. « Dernier requiem pour les innocents » (Pure, 2011) a obtenu le Costa Book Awards, Costa Book of the Year.

Il vit aujourd’hui de sa plume dans le Somerset en Angleterre.

Résumé

Tout oppose Maud et Tim. Fille unique de parents modestes, Maud est une scientifique brillante. Issu d’une famille nombreuse, aisée et fantasque, Tim passe ses journées à jouer et composer de la musique. Elle est secrète, réticente à la vie. Il est exubérant et exprime ouvertement ses sentiments. Réunis par leur passion commune, la voile, ils finissent pourtant par former un couple puis une famille. Lorsqu’une terrible tragédie les frappe, chacun réagit à sa manière. Il se réfugie chez ses parents, incapable de surmonter sa douleur. Elle décide de mettre le cap à l’Ouest pour traverser l’océan en solitaire. La nuit, la mer n’est qu’un bruit est un voyage fascinant au cœur des sentiments et de l’indicible. La réponse d’une femme impénétrable à l’appel du large.

Mon avis

J’avouerai avoir été très emballée par le résumé. Le roman me semblait prometteur et je ne connaissais pas du tout l’auteur. Seulement, j’ai su dès les premières lignes que ça ne le ferait pas. En effet, le style est assez simpliste, on s’identifie assez rapidement au personnage de Tim. Mais mon dieu l’héroïne. Est-il possible d’avoir une héroïne absente et antipathique ? Mise à part dans les romans de Rainbow Rowell où les ouvrages me laissent de marbre. Celui-ci m’a juste agacé. Je l’ai donc abandonné à peine après avoir lu cinquante pages. Si vous aimez ce genre de romans un peu plus natural writing que véritable histoire d’amour. Je vous le conseille. Seulement pour la première fois, je me refuse d’y donner une note pour ne pas vous influencer. Juste que je ne suis fan de ce genre de romans.

Un grand oiseau vert descend la piste. Il porte la lumière sur son dos. C’est comme apprendre le vert pour la première fois.

Et vous est-ce que vous avez déjà eu ce genre de déceptions ?

Je vous embrasse !

Que la force soit avec vous !

Tiffanie  

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